[TEST] Mission Control: NanoMech – la version pour Steam

Mission Control NanoMech

Mission Control: NanoMech est un jeu d’action en temps réel développé et publié par le studio WisdomTools.

Avant de parler du jeu Mission Control: NanoMech, il est nécessaire de préciser que j’ai testé le jeu alors qu’il est en accès anticipé (donc pas pleinement achevé) et sur Mac.

L’histoire se déroule à la fin du 21ème siècle. Les humains ont colonisé Mars et produisent sur place tout ce dont ils ont besoin pour survivre.

Vous jouez un transporteur et conduisez un « camion » qui se rend à l’usine de nanotechnologie situé près du volcan du Mont Olympe. Plus vous vous approchez de l’usine, plus vous inquiétez. Personne ne répond à vos appels radio. L’usine a beau être construite sous terre, ils attendent votre livraison. En rentrant votre véhicule par le sas, deux robots vous attendent : Yarly (YRL1) et Tosh (TO5H).

Ils vous apprennent qu’un robot s’appelant D-Brain refuse d’être remplacé par un nouveau modèle Titan (T1TN) et qu’il retient tous les humains en otage. Il a envoyé des robots pour détruire Titan. Le seul moyen pour l’arrêter est de le détruire.

Tosh vous donne une nouvelle combinaison faite de nanoparticules partant du fait que vous êtes le seul humain de disponible pour les aider.

Le jeu est composé de 25 missions. Chacune permettant de progresser petit à petit dans l’histoire, jusqu’au dénouement.

Le studio WisdomTools développe ce jeu en collaboration avec la NASA et la « National Science Foundation ». Vous vous doutez bien qu’avec des collaborateurs tel que ceux là, il faut s’attendre à trouver un côté éducatif dans le jeu. Et c’est bien le cas.

Mais rassurez-vous, dès que vous avez commencé la partie, c’est le jeu qui prédomine.

Au fur et à mesure que vous complétez les missions, vous gagnez des points de technologie. Votre armure est très complexe et les points dépensés ici ou là permettent d’en améliorer certaines des capacités. Il y a beaucoup de lectures.

Lors de vos missions, vous trouverez des caisses avec des engrenages. Perdez du temps à casser ces caisses. Les engrenages vont vous êtres utiles.

Vous trouverez aussi lors de votre trajet dans chaque niveau la possibilité de construire des tourelles. Vous pouvez les acheter avec des engrenages. Il y a quatre sortes de tourelles :

  • mitrailleuse – rapide mais ne fait pas beaucoup de dégâts
  • laser – lente mais fait plus de dégâts
  • glace – pour ralentir les adversaires
  • réparation – pour soigner les robots comme vous

Mission Control NanoMech - base

Je vais être franc. Au premier abord, je n’étais pas motivé du tout par le jeu. Il manque un quelquechose de sexy qui donne envie de plonger de suite dedans et d’y jouer. MAIS (et le mais est important), après avoir joué les deux / trois premiers niveaux du jeu, j’y ai pris du plaisir et j’ai continué, continué et enchaîné ainsi les niveaux. L’histoire est bonne, les évolutions offertes semblent pas mal (même si je n’ai pas tout compris) et la progression de la difficulté est correcte.

Dans les améliorations qui sont attendues sur ce jeu, c’est définitivement :

  • un contrôle sur le changement de résolution (chacun choisi celle qu’il désire)
  • la possibilité de jouer en plein écran
  • une version linux du jeu
  • le plus important : le double de niveau : 25, c’est très léger

Je voudrais aussi rajouter une localisation en Français du jeu, mais il faut être réaliste, avec tout le texte, c’est loin d’être simple en plus, c’est vraiment très technique.

Si vous aimez les jeux d’action, de science-fiction, avec des robots gentils et d’autres méchants et si vous aimez les jeux avec un côté scientifique et éducatif, Mission Control : NanoMech est fait pour vous.

Ne vous fiez pas au prix, il peut paraître élevé, mais quand vous voyez tout ce que le studio compte rajouter au jeu, ça va être génial !

Mission Control: NanoMech est sorti en accès anticipé en décembre 2014 sur Steam.