[TEST] Boor – la version pour Steam

Boor est un jeu de plateformes développé par le studio espagnol Dazlog Studio et publié par Badland Games.

Boor se caractérise par un design graphique fait de couleurs allant du blanc au noir et du rose au rouge avec d’autres couleurs pastels mais rarement. Le choix de ces couleurs donne un style graphique bien particulier à Boor qui est loin d’être désagréable.

L’histoire se déroule dans un futur lointain. L’humanité a bien progressé puisqu’elle maîtrise le voyage spatial, la cryogénisation, la colonisation planétaire, la terraformation, la robotique, etc. Il n’y a pas que technologiquement que les Terriens ont progressé, mais aussi humainement avec l’arrivée de la nouvelle génération des êtres humains, les mutants !

Introduction à Boor

L’humanité a colonisé de nombreuses planètes et l’une d’entre elles s’appelle Eden. Les habitants d’Eden nagent dans le bonheur (c’est le paradis sur terre, affirment-ils) et décident de créer une Intelligence Artificielle pour rendre leur vie encore plus facile.

Le problème avec une Intelligence Artificielle, c’est que si tout le travail de programmation est bien fait, sans aucune faille, tout se passe bien, par contre, s’il y a la moindre erreur, c’est fini.

C’est ce qui s’est passé sur Eden. L’Intelligence Artificielle (elle s’appelle Boor) s’est retournée contre les humains et comme elle contrôle les robots, l’humanité a eu de suite le dessous dans le conflit.

D-451 est une petite fille, elle n’est pas comme les autres, elle possède les dons de se multiplier et de se transporter au loin. C’est une mutante si vous préférez. Alors que le vaisseau qui la transporte explose pour une raison inconnue, D-451 utilise son pouvoir pour se sauver.

Arrivée sur Eden, il ne se passe pas longtemps avant que D-451 soit capturée par les robots de Boor. Elle est, comme d’autres habitants d’Eden, cryogénisée.

Le jeu débute.

Quelques points autour du jeu

D-451 me fait penser, par sa tenue, au petit chaperon rouge. Etant une mutante, elle a le pouvoir de mettre son corps au repos et de guider son énergie astrale dans un environnement assez proche. Pour réénergiser son énergie astrale, D-451 peut prendre des pilules rouges. L’énergie astrale peut une fois arrivée à destination soit appuyer sur un bouton ou une manette débloquant ainsi un passage pour le corps ou bien appeler le corps physique vers elle, ce qui équivaut à une sorte de téléportation. Attention, l’énergie astrale de D-451 est comme son corps, sensible aux pièges et aux dangers.

Boor compte 80 pièces. D-451 va aider les humains résistants à Boor dans leur combat contre l’intelligence artificielle.

Ma conclusion

Boor est sans aucun doute un excellent jeu indépendant. Il va de soit que je le conseille à tout le monde, aussi bien aux plus jeunes qu’aux moins jeunes (pour ne pas dire les plus âgés) des joueurs.

Ce que j’aimerais, pour la suite, ce sont d’autres aventures dans le même monde, avec la même histoire de fond et surtout le même style graphique.

Si vous aimez les jeux de plateformes, si vous êtes un grand fan de science-fiction, si vous vous méfiez aussi des intelligences artificielles, si vous savez que la prochaine évolution de l’humanité comprend des pouvoirs « spéciaux », enfin, si vous adorez quand le jeu est tout récent avec un prix génialement petit (moins de 5 euros), alors, n’attendez pas pour l’acquérir. Vous pouvez acheter ce jeu, Boor, dans la boutique de Steam, ne vous privez pas !

Boor est disponible depuis le 14 février 2017 sur Steam (Microsoft Windows, Mac et Linux).