[TEST] The Journey Down: Chapter Three – la version pour Steam

The Journey Down: Chapter Three est un jeu d’aventure de type point & click développé et publié par le studio suédois SkyGoblin.

Comme le titre du jeu l’indique, The Journey Down est une trilogie et je vais plus particulièrement parler du troisième chapitre. Je tiens à préciser que même si je possède les deux premiers épisodes, je n’ai jamais eu l’occasion d’y jouer. Je vais tout de même vous résumer chaque chapitre en fonction de ce que je peux lire ici et là:

The Journey Down: Chapter One – L’histoire se déroule sur une des nombreuses îles des Caraïbes dans la baie de Kingsport (Je vous préviens de suite, le nom de l’île n’est pas donné et la baie de Kingsport n’existe pas. En Jamaïque, il y a Kingston et Kingsport existe comme port uniquement dans le monde imaginaire d’H.P. Lovecraft… à moins qu’il ne soit pas si imaginaire que ça, mais ça, c’est une autre histoire) et dans la banlieue de Saint Armando. Bwana (le héros de l’histoire) et son ami Kito travaillent, enfin, plutôt galérent dans une station d’essence. Ils se lancent dans une aventure qui les amène à découvrir le journal du capitaine Kaonandodo, le père de Bwana.

The Journey Down: Chapter Two – Bwana, Kito et Lina (la seule femme du groupe mais aussi la seule personne avec sa tête sur ses épaules) partent sur les traces du capitaine Kaonandodo, à la recherche de l’Underland. Ils vont découvrir la ville de Port Artue et avoir affaire à des pirates.

Introduction à The Journey Down: Chapter Three

Ce troisième épisode nous fait retrouver notre groupe d’aventuriers : Bwana, Kito et Lina. Ce sont, tous les trois, des africains des Caraïbes. Le jeu débute dans une caverne de l’Underland et ils sont en train de déchiffrer une pierre avec des dessins (ou des hiéroglyphes) dessus. Sur cette pierre, vous découvrirez un arbre immense (le Grand Asili) qui tient dans ses racines le monde (surement une référence à Yggdrasil) et une représentation d’un Thauri (un dieu ou un demi-dieu) appelé Nyakazho. Autant les Thauris sont globalement positifs, celui là est complètement négatif.

Vos aventuriers sont rentrés dans l’Underland, il va falloir trouver un moyen de les faire sortir. Un indice, ça va être en ballon dirigeable ! Vous allez découvrir le Grand Asili qui est exploité (dans tous les sens du terme) par l’Armando Power Company.

Des tourelles vous tirent dessus, le ballon s’écrase et …

les aventures commencent !

Quelques points autour du jeu

Un jeu facile ou difficile ? Quand je regarde certains commentaires, j’ai l’impression que le jeu est ultra-facile et pourtant, quand j’ai joué, plusieurs fois je me suis arraché les cheveux, enfin, le peu qu’il me reste. Franchement, à un certain moment du jeu, je bloque. J’ai tout essayé dans tous les sens et ça ne donne rien. Mais bon, je ne suis pas ultra bon dans les jeux d’aventure de type point & click.

En France, le cinéma, la littérature, les publicités, les jeux gros budgets sont victimes du politiquement correct. Nos trois héros dans The Journey Down sont assez caricaturaux et heureusement que nos censeurs en France ne connaissent pas les jeux indépendants sinon, les auteurs de The Journey Down: Chapter Three seraient mis au pilori… en plus, comme ils sont Suédois, cela n’arrange pas les choses !

Ma conclusion

The Journey Down: Chapter Three est un excellent jeu indépendant que je conseille à tous les amateurs de point & click. Sincèrement, je regrette de ne pas avoir pris le temps de jouer et de découvrir les deux premiers épisodes, mais, comme je l’ai écrit plus tôt, étant nul dans ce genre de jeux, j’aurais été bloqué surement au début des jeux !

Je vous conseille d’acheter dans la boutique de Steam, The Journey Down: Chapter One, The Journey Down: Chapter Two et bien sûr le dernier épisode The Journey Down: Chapter Three.

Si vous voulez acquérir les trois The Journey Down d’un seul coup, il existe une compilation les rassemblant.

The Journey Down: Chapter Three est disponible depuis le 21 septembre 2017 sur Steam (Microsoft Windows, Mac et Linux).