[TEST] Spellsword Cards: Origins – version pour Steam

Spellsword Cards: Origins est un jeu de cartes de combat développé par le studio australien One Up Plus Entertainment et publié par WhiteLakeStudio.

Je tiens avant tout à vous signaler que c’est le second jeu de la série Spellsword Cards et si je ne me trompe pas, une préquelle à Spellsword Cards: Demontide (sorti le 8 mars 2019). Ces deux épisodes sont aussi, l’un comme l’autre, fonctionnels sur les plateformes mobiles.

Pour la classification de Spellsword Cards: Origins, je l’ai mis comme jeu de cartes de combat car tout est une question de cartes dans ce jeu (et de combats, aussi, d’ailleurs). J’aurais pu aussi le classer comme jeu de rôle, mais ça reste secondaire donc, je n’insiste pas. Pour terminer avant de parler du jeu en lui-même, c’est du médiéval fantastique de type rogue-like (le contenu des scénarios sont générés aléatoirement).

Maintenant, parlons de Spellsword Cards: Origins.

Introduction à Spellsword Cards: Origins

Nous sommes dans un monde où les créatures de différentes races vivent ensemble. Comme c’est du médiéval fantastique, la science est quasi-inexistante et la magie puissante.

La première des choses à faire est de créer votre personnage en choisissant la classe (guerrier, voleur, prêtre, magicien, moine, ranger, ninja, druide, barde et nécromancien), la race (humain, elfe, nain, demi-orc, demi-dragon, demi-démon) et la voie magique que vous désirez jouer (mort, eau, nature, feu, lumière).

Bien évidemment, pour vous faciliter les choses, essayez de sélectionner une race en accord avec la classe (genre, évitez le nécromancien demi orc).

La partie peut commencer.

Vous allez avoir tout le temps ou quasi tout le temps des batailles, vous contre un adversaire.

Votre personnage, comme vos ennemis, ont au début peu de vie et peu de mana. Quand vous jouez, vous avez au début une seule action physique et autant d’actions magiques que vous voulez (dans les limites de votre mana et de vos cartes). Les cartes, elles, sont divisées en trois groupes : action physique, action magique et support.

Vous savez quasiment tout.

Quelques points autour du jeu

En plus des monstres, vous rencontrerez parfois des coffres (qui vous donnent trois cartes supplémentaires), des autels (pour restaurer vos points de vie), des marchands (pour acheter de nouvelles cartes), des forgerons (pour améliorer vos cartes), … Bien sûr, hormis le coffre qui est tout bonus, le reste se fait contre des espèces sonnantes et trébuchantes.

Une autre chose que vous rencontrerez assez souvent, c’est « la surprise » qui est souvent une rencontre aléatoire mais pas automatiquement un combat. Une fois, j’ai eu la carte d’une « petite fille abandonnée ». Cette carte ne fait rien mais rien du tout sauf que lorsque vous l’avez dans votre main, vous pouvez la mettre à la poubelle sans regret pour avoir une action supplémentaire.

Attention, il y a un petit bug… voir la dernière copie écran. Allez-vous le retrouver ?

J’adore ce jeu, je le trouve tout simplement extraordinaire, mais j’ai un reproche, un GROS reproche à faire. Non, ce n’est pas le bug, ça arrive, MAIS, c’est l’absence de succès (achievements en anglais) ! Je sais que c’est un détail, mais pour un joueur, c’est une chose qui compte car ça mesure son évolution dans Spellsword Cards: Origins.

Ma conclusion

Je trouve ce jeu indépendant fabuleux. J’aime les jeux de cartes de combat, mais je suis souvent tombé sur du inintéressant ou trop compliqué, mais là, tout est parfait. Ce qui serait génial, maintenant, c’est de sortir une extension (DLC) avec quelques races et classes supplémentaires, un ou deux styles de magie en plus et une petite campagne. Qu’en pensez-vous ?

Alors, il est évident que je vous conseille sans plus tarder d’acheter Spellsword Cards: Origins dans la boutique de Steam. Le prix du jeu est très abordable, 4,99 euros, pour des aventures rejouables à l’infini avec son grand nombre de combinaisons (classe/race/magie).

Spellsword Cards: Origins est disponible depuis le 6 juin 2019 sur Steam (Microsoft Windows) et sur plateformes mobiles (Android et iOS).