[TEST] Keplerth – version pour Steam

Keplerth est un jeu de survie développé et publié par le studio chinois Taro.

Sur Steam, Keplerth est le seul jeu du studio. Comme les deux seuls langues disponibles dans le jeu sont l’anglais et le chinois, je suppose que le studio Taro est chinois, mais je n’en sais pas plus et ce n’est qu’une supposition.

Pour la catégorisation de Keplerth, c’est sans aucun doute un « jeu de survie » avec tout ce que cela implique.

Une dernière chose avant de parler du jeu en lui-même, lorsque je l’ai testé, il était en accès anticipé. Il semble que certaines choses sont encore « en construction », mais bon, à priori, ça ne concerne pas le début du jeu !

Introduction à Keplerth

La première chose à faire lorsque vous commencez une partie, c’est de créer votre personnage. Vous avez le choix entre différentes races (correspondant parfois à des classes) comme l’humain, le barbare, le demi-elfe, l’elfe, l’elfe noir, l’orc, la momie et l’homme cochon. Ensuite, vous choisissez votre sexe, votre peau, vos cheveux et votre couleur. Notez que selon la race, vous avez des bonus particuliers ( par exemple pour la momie, vous regagnez un point de vie toutes les deux secondes). Puis, vous terminez en choisissant votre difficulté (de simple à difficile en passant par normal).

Maintenant, vous lancez la création de votre monde, vous choisissez la puissance des monstres (de faibles à forts en passant par normaux), vous donnez un nom à la carte (ce qui aide à la génération du monde) et vous le créez.

La partie commence.

Vous vous trouvez dans une ruine de salle de cryogénisation et vous étiez dans le dernier lit fonctionnel. Vous venez de vous réveillez. Ce lit (jusque vous le changez) est l’endroit où vous allez réapparaître si vous venez à mourir.

En bas se trouve un robot que vous devez réparer. Il va vous donner en contre partie quelques rations de survie et la carte qui vous permet de vous téléporter chez le marchand (le téléporteur est légèrement au dessus de votre salle).

Quelques points autour du jeu

Dans Keplerth, il y a énormément de choses à faire. La première est surement d’explorer que ce soit sur la terre ou sous la terre. Vous avez un escalier pour descendre en dessous, un début de cave avec des monstres et des zones à rejoindre en creusant.

Il faut aussi manger (cela permet de se soigner). Il est très facile de cueillir des pommes et des baies, c’est efficace et elles sont en nombre. Vous pouvez même en planter pour faire un verger. Avec le feu de camp, vous pouvez cuire des aliments comme la viande des animaux sauvages que vous tuez.

Il faut faire votre petit chez vous, mais là, c’est à vous de voir car il y a beaucoup de demeures de différentes tailles vides dans le monde, il n’y a qu’à se servir.

Il faut bien sûr se battre… contre des créatures sauvages, des monstres, des goblins, des mutants (ou extra-terrestres) … certains vous apportent des objets, de la monnaie, des éléments rares et d’autres … rien.

Bien sûr, vous pouvez aussi fabriquer (il y a même un établi pour construire d’autres établis) et évoluer.

Pour les éléments Steam, il y a des succès et la traduction juste en anglais et chinois. Les cartes … elles viendront surement plus tard ! Sinon, le Workshop de Steam est fonctionnel avec quelques modules et la traduction dans d’autres langues.

Ma conclusion

Ce jeu est vraiment ultra-addictif. J’ai voulu le tester quelques heures sachant que les jeux de survie sont des gouffres sans fin en terme de temps de jeu et bien, je suis tombé dans le gouffre !

Alors, évidemment, je vous conseille d’acheter Keplerth dans la boutique de Steam. Son prix est abordable et avec, vous allez vous amuser des heures et des heures (sachant que chaque monde peut être différent).

Keplerth est disponible depuis le 23 avril 2018 en accès anticipé sur Steam (Microsoft Windows). Pour la version définitive, aucune date a été fixée, le jeu sera terminé quand tout aura été fait !

Je ne suis pas sûr que ce soit la vidéo officielle de la bande annonce du jeu, mais elle résume bien les choses et c’est ce qui compte.