[TEST] Graveyard Keeper – version pour Steam

Graveyard Keeper est un jeu de simulation développé par le studio russe Lazy Bear Games et publié par tinyBuild.

Vous connaissez surement Lazy Bear Games, c’est le studio derrière l’excellent et célèbre jeu Punch Club (sorti le 8 janvier 2016). Quand à l’éditeur tinyBuild, ils sont coupables de publier plein de très bons jeux.

Pour la catégorisation de Graveyard Keeper, j’ai retenu le « jeu de simulation de métier » et ce métier, c’est gardien de cimetière. Bon, c’est un jeu très complet donc vous allez avoir plein de choses à faire et pas uniquement vous occuper de votre cimetière, il va y avoir à récupérer des ressources, faire le boulot de fermier, explorer, sociabiliser avec les habitants du village, massacrer des monstres, etc.

Je tiens à signaler qu’il y a énormément de choses à dire sur Graveyard Keeper, je vais donc aborder certains points, ceux qui m’ont particulièrement marqués. Si vous en voulez plus, demandez !

Introduction à Graveyard Keeper

Nous sommes au début du XXIème siècle et vous jouez un hipster s’appelant Garry. Vous habitez dans une grande agglomération et travaillez comme caissier dans une grande épicerie (ou un petit super-marché). Une fois votre journée terminée, vous rentrez chez vous à pied pour retrouver la femme de votre vie.

Et, d’un seul coup, vous vous retrouvez au milieu d’un brouillard, habillé d’une drôle de tenue et avec un interlocuteur qui vous annonce que vous commencez une nouvelle vie en devenant « gardien de cimetière ». Il vous conseille de trouver Gerry.

Vous vous réveillez dans une petite maison, c’est votre nouvelle demeure de « gardien de cimetière ». Vous partez à la recherche de Gerry, vous le trouvez (enfin, ce qu’il en reste à savoir juste un crane) dans une tombe derrière la maison.

Gerry vous explique votre travail et plus particulièrement celui de gardien de cimetière. Vous recevez un cadavre, vous faites une autopsie, vous prélevez quelques morceaux de viande et vous allez enterrer le corps dans le cimetière. Pour la viande, vous allez la vendre à l’auberge du coin.

Rapidement, vous allez découvrir que l’aubergiste désire que la viande soit certifiée et pour cela, vous devez soit obtenir un cachet officiel de certification de la viande, soit un cachet contrefait.

Une autre chose importante, l’évêque accepte de vous déclarer comme prêtre (et donc de réouvrir l’église) si vous arrivez à remettre en bon état le cimetière (nettoyage, réparation des tombes, etc).

Ce n’est que le début.

Quelques points autour du jeu

La touche TAB est importante, c’est ce qui vous permet d’accéder à l’arbre des technologies. Il concerne à la fois l’anatomie, la théologie, l’écriture, l’agriculture, la forge, la construction et la cuisine. Pour acquérir une nouvelle technologie, vous dépensez des points dont vous faites l’acquisition par votre travail au quotidien.

Vous croiserez aussi un inquisiteur, vous avez le choix, soit devenir son ami (et participer à ses réunions entre potes où vous brulerez une sorcière ou un hérétique), soit devenir son ennemi.

Il existe une extension pour ce jeu, c’est Graveyard Keeper – Stranger Sins qui rajoute des dizaines et des dizaines d’heure de jeu en plus, la possibilité de posséder votre propre taverne, de nombreux textes supplémentaires pour beaucoup de personnages muets jusqu’ici, la possibilité d’aider Gerry à retrouver sa mémoire, etc.

Pour les éléments Steam, vous trouverez l’intégrale : les succès, les cartes, les copies écran et des traductions pour 11 langues différentes.

Ma conclusion

Alors, comme vous l’avez compris, je suis tombé amoureux de ce jeu là. Si vous ne le possédez pas encore, je vous invite à ne pas tarder et à acheter de suite Graveyard Keeper dans la boutique de Steam, vous ne pouvez pas le regretter !

Graveyard Keeper est disponible depuis le 15 août 2018 sur Steam (Microsoft Windows, Mac et Linux), sur consoles (PlayStation 4, Xbox 1 et Nintendo Switch) et sur les plateformes mobiles (Android et iOS).