Nowhere Station est un jeu de tir développé et publié par le studio ukrainien Other Side Worlds.
Avant tout, je tiens à préciser que Nowhere Station est le premier jeu du studio sur Steam. Il y a un second jeu en route, mais ce n’est pas le sujet de ce test.
Nowhere Station est un jeu de tir vu du dessus dans une ambiance de science fiction. Ah oui, c’est aussi un jeu de type rogue-like avec une génération aléatoire des niveaux à chaque début de partie… ou après chaque mort !
Le jeu compte 5 niveaux de difficulté. J’ai pourtant joué au niveau le plus simple, mais qu’est-ce que j’en ai bavé ! Nowhere Station ne s’adresse pas à ceux qui veulent découvrir les jeux de tir mais bien à ceux qui se baladent et qui d’ordinaire arrivent à jouer d’une main pendant qu’avec l’autre, ils lisent un livre, fument une cigarette et dégustent un expresso !
Introduction à Nowhere Station
Comme je l’ai précisé plus haut, c’est de la science fiction. Nous sommes dans un futur très très lointain. L’histoire se déroule sur une station spatiale peuplée uniquement de robots. Alors qu’un amas spatial (nuageux fait aussi bien l’affaire mais les nuages n’existent pas dans l’espace) croise la station, cela provoque auprès des robots ce que nous qualifions chez les humains comme une crise de folie permanente.
Tous les robots ? Oui, enfin, non… presque tous les robots. Certains des robots étaient en maintenance, ils ont pu échapper à la crise et surtout, ils se donnent pour mission de sauver la station spatiale qui est irrémédiablement condamnée si elle reste entre les mains des robots contaminés.
La solution est simple, il faut s’armer et nettoyer la station spatiale.
Devinez qui vous jouez ??? C’est un, surement le dernier, robot sain. Equipé d’un pistolet énergétique, vous allez jouer à Léon, au nettoyeur si vous préférez !
Quelques points autour du jeu
Le déplacement s’effectue en cliquant avec le bouton droit de la souris sur la direction que votre robot sain désire prendre. Comme il doit surement avoir un problème de freins (n’oubliez pas qu’il était en maintenance), vous ne pourrez pas le stopper où vous le désirez, celui-ci va donc avancer jusqu’un obstacle l’arrête, ça peut être un mur, une caisse, un autre robot (robot contaminé, il va de soit), …
Le tir se fait bien évidemment avec le bouton gauche de la souris.
La station spatiale n’est pas bien éclairée, ce qui est normal, n’oubliez pas qu’il y a uniquement des robots dans cette station et la lumière ne leur est pas utile. La quasi absence de lumière fait que vous allez ramasser d’autres armes sans vous en rendre compte, si, vous le découvrirez en observant que votre tir est différent.
Il y a aussi, par endroit, des caisses avec un outil dessiné dessus, je suppose que c’est un moyen de regagner des points de vie.
Si les auteurs veulent une idée pour un DLC pour Nowhere Station, je leur suggère de faire l’intervention d’un contrebandier humain… combat, survie, pillage… tout ce qu’aime un joueur !
Attention, à chaque fois que je faisais une copie écran avec F12, le jeu se mettait en pause… galère !
Ma conclusion
Globalement, ce jeu indépendant est bien fait que ce soit le graphisme, la musique, la programmation et la jouabilité. Le seul reproche que je peux faire, c’est la difficulté. J’aurais aimé un niveau facile où il aurait été possible de se balader.
Alors oui, je vous conseille d’acheter Nowhere Station dans la boutique de Steam, en plus, comme c’est un jeu au contenu généré aléatoirement, vous allez vous amuser encore et encore avec.
Nowhere Station est disponible depuis le 29 mars 2019 sur Steam (Microsoft Windows).