[TEST] Conglomerate 451 – version pour Steam

Conglomerate 451 est un jeu de rôle tactique développé par le studio italien RuneHeads et publié par 1C Company.

Les Italiens de RuneHeads sont à l’origine d’un précédent jeu d’action déjà publié par le même éditeur. Quand à 1C Company, nous les retrouvons régulièrement derrière d’excellents jeux indépendants.

Je tiens à préciser que lorsque j’ai joué à Conglomerate 451, il était en accès anticipé. Comme le précisent les auteurs du jeu, tous les éléments ne sont pas intégrés et certaines erreurs n’ont pas encore été éradiquées, les corrections ne vont par tarder.

Le jeu se déroule dans un futur de type cyberpunk.

Introduction à Conglomerate 451vv

Nous sommes en 2099 (la dernière année du XXIème siècle) et la mégapole Conglomerate est en pleine guerre civile et plus particulièrement le 451ème arrondissement.

Des gangs (appelés des corporations (sociétés, en français)) contrôlent cet arrondissement. Ils gèrent la totalité de l’activité criminelle.

Vous êtes nommé directeur d’une agence de contre-guérilla. Vos troupes sont des clones avec des gènes optimisés pour certaines fonctions (soldat, infiltration, garde du corps mais aussi drifter et splicer dont je ne comprends pas le sens ni l’utilité. D’ailleurs, splicer et garde du corps sont à débloquer par la suite).

Vous venez de signer un contrat avec la mairie (le gouvernement) de Conglomerate pour débarrasser le 451ème de toute activité criminelle.

Bon, je reconnais avoir un peu changé l’histoire de base, je l’ai juste adapté à ce qui me semble plus réaliste… mais bon, peut être que je me trompe et ma vision du monde à la fin de ce siècle n’est pas la bonne.

Quelques points autour du jeu

Vous avez accès, au début, à différents services dans votre agence. Le centre de recherche (mais il est nécessaire d’obtenir des points de recherche en réussissant des missions), la pièce des clones (où vous pouvez voir chacun de vos clones, les améliorer mais aussi consulter leur dossier), l’infirmerie (mais il faudra avant tout débloquer une des recherches, soin), le centre de clonage pour vous créer de nouvelles unités et, bien sûr, la pièce pour lancer vos missions.

Le 451ème arrondissement est divisé en plusieurs zones et chacune est contrôlée par un gang. Votre objectif est de traiter secteur après secteur, de réduire l’influence du gang à zéro en menant différentes opérations du genre recherche, chasse ou exploration. Chaque mission a un niveau de difficulté et, bien évidemment, plus la mission est difficile, plus elle vous rapportera (en réputation, en crédit et en points tech). Si vous avez plusieurs clones (plus de 3), choisissez ceux que vous voulez tout en sachant que les blessés ont des malus à la pelle.

Une fois dans le 451ème arrondissement, vous allez mener votre mission, combattre les patrouilles des gangs, fouiller les coffres, pirater un terminal (c’est l’occasion de choisir votre bonus qui est plutôt intéressant en soit), acheter des produits chez un marchand (si vous en croisez un), etc.

Les blessures légères et les boucliers endommagés sont réparés automatiquement à la base, mais, tout ce qui est sérieux doit être traité à l’infirmerie. Ne pas s’en occuper risque de provoquer des dommages permanents. A la fin d’une mission, vos clones gagnent de nouvelles compétences… automatiquement.

Ma conclusion

Ce jeu indépendant a tout pour me plaire. Le graphisme et la musique sont excellents, l’ambiance reflète le monde cyberpunk tel que je l’imagine, le développement est parfait, la jouabilité aussi et quand à l’histoire, elle me semble totalement crédible. Vous avez compris, j’ai craqué positivement pour ce jeu.

Alors, bien sûr, n’attendez pas inutilement et faites l’acquisition dès maintenant de Conglomerate 451 dans la boutique de Steam ou dans la boutique de Gamesplanet, ça revient au même pour vous.

Conglomerate 451 est disponible en accès anticipé depuis le 23 mai 2019 sur Steam (Microsoft Windows). Pour sa version définitive, il est probable qu’elle soit achevée fin 2019 mais il est plus logique de compter plutôt sur début 2020.